Ilne reste que quelques heures avant la fin des soldes d’été : si vous êtes à la recherche de vos ultimes bonnes affaires, voici quelques conseils qui devraient vous aider.
MJ26: Les Grands Explorateurs # EQUIPE 1John Sheppard - Rodney Mckay-Mike McPherson- Natasha Avalon- Alex Stones- « Bien » fit l opératrice en récupérant se
PROBLEME] Nouvelle quête "La dernière barbe avant la fin du monde" Par AzVatos73 #2148 - ABONNÉ - 05 Juillet 2018 - 00:06:40 . AnkaTracker. Bonjour, Je recontre actuellement un soucis avec cette quête. On nous demande de recolter 4 [sucre glace] sur des glutin de nowel, dans la crevasse Perge. Jusque la pas de soucis, j'effectue les 4 combats et je
Fast Money. INFOGRAPHIES - Plans sociaux ou restructurations d'envergure impactent fortement certains secteurs, qui étaient en pleine mutation avant l'épidémie de la fin du confinement, pas une semaine ne se passe sans qu'une annonce de plan social, de restructuration, voire de faillite, ne soit officialisée. Après avoir chuté au mois d'août, le nombre hebdomadaire de plans de sauvegarde de l'emploi PSE lancé repart à la hausse début septembre. De 10 PSE initiés durant la dernière semaine d'août, il est passé à 30 la deuxième semaine de lire aussiCes métiers recherchés en 2021 pour affronter l’après-criseAu total, entre le 1er mars et le 15 septembre, 394 plans de sauvegarde de l'emploi PSE ont ainsi été lancés en France, menaçant emplois, selon le dernier pointage de la Dares. C'est plus que les 249 PSE enregistrés sur la même période l'an passé, avec un nombre de postes menacés qui est, lui, trois fois plus annonce en date le manufacturier japonais Bridgestone a décidé de fermer définitivement son usine de Béthune Pas-de-Calais qui emploie 863 personnes dans la fabrication de pneumatiques pour voitures. Cette nouvelle s'ajoute à la longue liste de plans sociaux ou de redressements judiciaires annoncés ces derniers mois dans l'aérien et l'aéronautique Air France prévoit de supprimer 7580 postes, Airbus, 5000, Daher, 2000, ainsi que dans l'automobile Renault prévoit de supprimer 4600 postes, Valeo, 2000. Des restructurations sont aussi en cours au sein des enseignes spécialisées dans l'habillement, comme La c'est sans compter les 3185 petits » licenciements collectifs pour motif économique principalement d'entreprises de moins de 10 salariés, répertoriés par le service statistiques du ministère du Travail. Dans cette catégorie, les secteurs les plus concernés sont ceux du commerce et de la réparation d'automobile 20 %, de la construction 17 %, de l'industrie manufacturière 16 % mais aussi de l'hébergement et de la restauration 12 %.Ça va être une hémorragie, un bain de sangChristopher Dembik, économiste chez Saxo Bank Au début de l'été, les grosses sociétés ont bénéficié rapidement de dispositifs de plan de sauvegarde de l'emploi PSE et savaient que l'activité dans leur secteur n'allait pas repartir tout de suite. L'aérien en est un bon symbole », explique Christopher Dembik, économiste chez Saxo Bank. Maintenant la nouvelle vague de licenciements va concerner davantage le segment des PME-TPE très petites, petites et moyennes entreprises. À l'automne, les tribunaux de commerce s'attendent à reprendre leur activité sur les faillites entreprises. Cette vague automnale risque de concerner le tourisme, les commerces, l'hôtellerie, la restauration. Ça va être une hémorragie, un bain de sang », prédit Christopher ces restructurations annoncées ou en cours dans ces différents secteurs d'activité ne sont pas toutes directement liées à la crise sanitaire. Retour sur leurs évolutions avant l'apparition du coup d'arrêt brutal pour un secteur qui était en forte croissanceAvant la crise liée au Covid-19, le secteur de l'aéronautique, porté par le boom de la mondialisation et du tourisme de masse, était en plein essor, et créateur d'emplois. Mais la pandémie a porté un coup brutal au trafic aérien au niveau mondial, plongeant dans une grande difficulté les compagnies aériennes Air France a officialisé un plan de suppression de plus de 7500 postes d'ici fin 2022 . Du jour au lendemain, les carnets de commandes remplis des avionneurs et équipementiers se sont vidés, poussant la filière à tailler dans ses effectifs Airbus prévoit ainsi de supprimer postes, dont 5000 en France sur un total de D'autant que la reprise n'est pas annoncée pour demain. D'après l'IATA, l'association internationale du transport aérien le trafic mondial ne retrouvera pas son niveau d'avant-crise avant... 2024.» VOIR AUSSI - Occitanie Carole Delga annonce un plan de 100 millions d'euros pour l'aéronautique Dans le secteur de l'aéronautique, l'enjeu sera de passer la crise pour tenir dans la durée. Ou comment préserver les équipementiers et les constructeurs, maintenir de l'activité, alors que les avions ne se vendent plus », souligne Sophie Barbé, directrice associée au sein du cabinet AlixPartners. Le gouvernement a annoncé le 9 juin un plan de soutien au secteur de 15 milliards d'euros dont 7 milliards d'aide publique pour Air France. Ces crédits doivent servir notamment à maintenir un dispositif de chômage partiel de longue durée, à développer des avions neutres en carbone, ou encore à financer des commandes anticipées de l'Armée des destructions d'emplois déjà en cours depuis quinze ansAutre secteur durement touché par la crise liée à la pandémie la filière automobile française. Le secteur emplois industriels en France, dont de nombreuses PME connaissait déjà des destructions d'emplois. Entre 2000 et 2018, les effectifs en France du secteur ont fondu de 36%. L'Hexagone avait fait le choix de délocaliser sa production, passant du second au cinquième rang européen, en matière de construction et d'exportation de véhicules. Depuis quelques années, l'industrie automobile subit plusieurs bouleversements simultanés l'électrification des motorisations, le développement des véhicules connectés et autonomes, et la mutation des constructeurs en prestataires de services de crise liée au Covid est un nouveau choc. Sous l'effet du confinement, le marché automobile français s'est effondré au printemps - 72% en mars, -89% en avril, -50% en mai. Dans ce contexte, le constructeur français Renault, déjà fragilisé avant cette crise, a prévu de supprimer emplois dans le monde dont 4600 en France. Et il n'est pas le seul acteur de l'automobile en ce secteur, des arbitrages sont faits sur un certain nombre de programmes dans lesquels des investissements étaient prévus. Cela conduit à des réductions d'effectifs qui touchent désormais les postes de cadres, les cols blancs», explique Sophie Barbe. Selon la directrice associée du cabinet AlixPartners, le maintien de l'emploi dans l'automobile passera par le développement et la localisation en France d'activités innovantes comme les batteries ». En soutien, l'État a débloqué 8 milliards d'euros. Pour relancer les ventes d'automobiles, plusieurs mesures ont été mises en place bonus à l'achat de véhicules électriques, aides pour les hybrides rechargeables, élargissement de la prime à la conversion.Le tourisme un bain de sang» annoncé dans la restaurationAutre secteur touché durement par la crise économique liée à la pandémie de Coronavirus le tourisme représente quelque 2 millions d'emplois et 8% du PIB français. Malgré une saison estivale moins dramatique qu'annoncée avec un tourisme globalement bleu-blanc-rouge qui a permis de sauver les meubles», la fermeture de bon nombre d'établissements au printemps durant le confinement et la quasi-absence des touristes venus de l'étranger ont fortement fragilisé ce secteur. Nombre d'établissements vivent aujourd'hui sous le soutien de l'État qui a débloqué 18 milliards d'euros pour tous les acteurs du tourisme, les aides plus ciblées et le recours massif au chômage partiel, les restaurateurs par exemple ont du mal à payer leurs loyers, qui représentent environ 10 % des charges et parfois bien plus dans les destinations touristiques. Ces petites entreprises n'ont plus de trésorerie ou font face à des délais de paiement qui s'allongent. Les experts s'attendent à une vague de licenciements voire de faillites dans les prochains mois dans ce secteur déjà affaibli après les attentats de 2015, les manifestations des gilets jaunes» et les grèves contre la réforme des retraites. Dans la restauration notamment, il n'y a pas de retour de la demande d'avant crise. La période d'incertitude va même empirer avec le chômage. Ces commerces ne vont pas avoir d'autres choix que de licencier, estime Christopher Dembik, de Saxo Bank. Ça va être une hémorragie, un bain de sang.»Les marques d'habillement avaient déjà engagé leur mutationLa Halle, André, Naf Naf, Orchestra-Prémaman, Camaïeu, Celio... au printemps, de nombreuses enseignes ont été placées en redressement judiciaire, avant d'être rachetées au prix de réductions d'effectifs. Si la pandémie, avec la fermeture imposée des magasins pendant le confinement, a asphyxié ces marques, le secteur était déjà en crise. Ces dernières années on a assisté à une démultiplication du nombre de points de vente. La concurrence entre les marques s'est exacerbée. À un moment, le consommateur ne suit plus», analyse Sophie Barbé, du cabinet AlixPartners. Par ailleurs, les loyers de ces surfaces commerciales de plus en plus grandes, ont beaucoup augmenté» alors même que les consommateurs achetaient de plus en plus par internet. La crise du Covid, en fermant les commerces deux mois et impactant leur trésorerie, a accéléré la restructuration qui était déjà en cours et obligé les marques à prendre des mesures drastiques, notamment pour leurs magasins .»
Tour d'Italie De Bondt vainqueur au nez et à la barbe des sprinteurs Publié le Jeudi 26 Mai à 19H38 / Actualisé le Vendredi 27 Mai à 05H09 Le Belge Dries de Bondt Alpecin a remporté jeudi à Trévise la 18e étape du Tour d'Italie, devant ses trois compagnons d'échappée, au nez et à la barbe des sprinteurs. Le Belge Dries de Bondt Alpecin a remporté jeudi à Trévise la 18e étape du Tour d'Italie, devant ses trois compagnons d'échappée, au nez et à la barbe des sprinteurs. L'Equatorien Richard Carapaz Ineos a conservé le maillot rose de leader à trois jours de l'arrivée à Vérone. De Bondt, champion de Belgique en 2020, a remonté in extremis l'Italien Edoardo Affini pour gagner. Le Danois Magnus Cort Nielsen a pris la troisième place devant l'Italien Davide Gabburo au terme des 156 kilomètres de course. L'Italien Alberto Dainese a réglé le sprint du premier peloton, devant Arnaud Démare, pour la cinquième place, à 14 secondes du vainqueur. Le quatuor formé dès les premiers kilomètres a mené la vie dure au peloton qui a pourtant toujours limité l'écart, inférieur aux trois minutes. Il a parfaitement résisté malgré le vent de face pour rejoindre le circuit final à Trévise et a abordé les 10 derniers kilomètres avec une minute d'avance, un avantage suffisant face à un peloton amaigri et fatigué par le rythme rapide de la poursuite. Les sprinteurs se sont donc retrouvés en échec au terme de cette étape qui représentait la dernière possibilité d'un sprint massif avant la fin du Tour, dimanche à Vérone. De Bondt 30 ans, qui participe pour la deuxième fois au Giro, a signé la 6e victoire de sa carrière, la première dans un grand tour. Le Portugais Joao Almeida, qui occupait la quatrième place du classement général, s'est retiré de la course jeudi matin après avoir été testé positif au Covid-19, selon les informations fournies par son équipe UAE. Vendredi, la course revient en montagne avec la 19e étape longue de 178 kilomètres entre Marano Lagunare et le sanctuaire de Castelmonte, avec un dénivelé positif affiché à mètres. Le parcours fait une incursion de 35 kilomètres en Slovénie et passe par le mont Kolovrat, à 43 kilomètres de l'arrivée, avant une longue descente et la montée finale au-dessus de Cividale 7,1 km à 7,8 %. AFP
Finale de la Coupe du monde féminine de football. Dimanche 26 août 20XX Friends Arena – Solna, Comté de Stockholm, Suède. ... aussi avant que la fête commence, je voudrais que nous respections cette minute de silence en son honneur. Xanthos, ta disparition laisse un grand vide en nous tous ! Où que tu sois, sache que nous t'aimons. » Juan Flores Jimenez, président de la FMFP Fédération Mondiale de Football Professionnel rend le micro au speaker en même temps que la foule bascule à l'unisson en mode mute. Les uns fermant les paupières. Les autres la main sur le cœur, fixant l'immense portrait de Xavier Xanthopoulos, meilleur joueur mondial, couronné ballon d'or six années de suite et disparu le 4 mai dernier, tandis que l'enceinte toute entière de la Friends Arena résonne de la symphonie désaccordée, fruit des notifications hétéroclites des smartphones laissés nonchalamment allumés. La minute passée, le speaker lance un tonitruant Que les équipes de cette finale fassent leur entrée ! » épaulé par les applaudissements nourris des 50 653 spectateurs, alors que les deux équipes féminines belge et danoise font leur entrée sur le terrain. Les dizaines de caméra braquées sur elles ne tardent pas à déclencher une clameur sourde d'incompréhension dans l'enceinte. Quand résonne enfin Der er et yndigt land, puis La Brabançonne, on sent clairement que les spectateurs ne sont pas vraiment concentrés sur la profondeur des paroles. Les joueuses, elles, entonnent leur hymne avec une ferveur accoutumée, comme si de rien n'était, puis viennent se placer sur le terrain. Personne ne dit rien. Après tout, rien dans le règlement ne l'interdit. Seul l'arbitre principal, au moment de siffler le début du match, ose à demi-rudiments de danois et de flamand, un Qu'est-ce que c'est que cet accoutrement ? » accueilli par un silence froid dont il ignore s'il est la conséquence d'un accent hasardeux. Il y a de quoi d'étonner. Car toutes les joueuses des deux équipes, sans exception, arborent moustaches drues et barbes fournies. Le coup de sifflet retentit enfin, moment que choisissent les joueuses pour s'asseoir simultanément sur l'herbe rase, en tailleur, immobiles. D'autres sifflets fusent bientôt dans les tribunes. Des cris, des vociférations, des rires nerveux, face à l'immobilisme des finalistes que rien ne semble altérer. Juan Flores Jimenez accourt bientôt à grandes enjambées dans le rond central, suivi par une dizaine d'officiels, et vient s'en prendre aux deux capitaines. – Bon sang ! Qu'est-ce que c'est que ce cirque ? – Nous protestons, rétorque Amélie Van Eyken. – Je le vois bien ! Mais pourquoi ?! – Nous ne sommes pas à notre place ici. – Et pourquoi donc ? – Et bien parce que nous sommes des hommes ! répond de façon toute naturelle Filippa Nielsen. – Qu'est-ce que c'est que ces idioties ? Bientôt les clameurs amplifiées par l'acoustique de l'Arena empêchent tout dialogue, et Jimenez fait signe aux deux capitaines de le rejoindre hors du terrain. La délégation regagne le chemin des vestiaires sous des huées nourries, mais bifurque en direction d'un petit bureau en bordure de tribunes. Les protestations sourdes du public laissent la place à un silence feutré. – Vous êtes folles ! – Ne soyez pas insultant, Président, dit une Amélie barbue. – Nous sommes des hommes à présent, répète Filippa de sa bouche surmontée de bacchantes jaune paille. – Il va falloir vous expliquer ! répond JFJ, passablement agacé. – Aujourd'hui, en 20XX, nous avons rattrapé en près de cinquante ans les inégalités que nos sociétés avaient mis des siècles à construire dans nos pays respectifs, et à ériger en remparts insurmontables entre hommes et femmes. Égalité de droits de vote, égalité salariale, égalité d'accès aux postes à responsabilités et j'en passe... – Qu'est-ce que ça à voir avec le football ? Vous avez même votre coupe du Monde depuis 1991 ! – C'est précisément le mot votre » qui nous pose problème. Et qui soulève ce problème éloquent. – Puisque nous sommes les égales des hommes, pourquoi faut-il justement que nous disputions des compétitions différentes ? – Étant donné que nous sommes leurs égales, nous arborons aujourd'hui des mentons et des joues poilues, puisque c'est apparemment la dernière condition sine qua non pour que nous intégrions les équipes des hommes. Et puisque nous sommes des hommes, nous n'avons rien à faire dans des compétitions féminines. – Brigueriez-vous un mandat politique par hasard, Mademoiselle Van Eyken ? – Pourquoi donc ? – Parce qu'il n'y a que des politiques pour avancer de telles idées ! Des équipes mixtes ! C'est purement idéaliste ! – Et pourquoi donc ? – Et bien, à commencer par vos constitutions physiques ! – Ah, le bel argument ! Ah, la jolie rengaine ! Le sexe faible incompatible avec le sexe fort ! Vous connaissez bien sûr ma coéquipière Elke Crommelynck, Président ? – Évidemment. – Et Tini Avidsen. Et Martina Vestergaard. Et Kirsten Friis. Adolescentes, elles ont toutes hésité entre le rugby et le football. Que resterait-il des 73 kg d'Mbappé, des 67 kg de Messi, des 68 kg de Neymar face à leurs carrures ? Pourtant toutes et tous figurent parmi les meilleurs footballeurs mondiaux, dit Amélie. – Et osez dire que nous ne sommes pas au niveau des hommes ! ajoute Filippa. – Ce n'est pas ça. C'est plus compliqué... – Ah ! Compliqué » ! Et on dit que ce sont les femmes qui le sont ! – Vous savez très bien que les hommes ne sont pas prêts à cela ! – Certains » hommes ne sont pas prêts à cela, corrige Filippa. – Et si certains hommes ne sont pas prêts à cela, qu'est-ce qui vous prouve que toutes les femmes le sont ? – Rien du tout. Beaucoup refusent de jouer avec des hommes pour diverses raisons. Mais osez au moins soulever l'idée d'une troisième compétition mondiale. Une coupe du monde masculine, une coupe du monde féminine, et une coupe du monde mixte ! – Et pourquoi pas une compétition poids plume, poids mouche, poids coq et poids lourd tant que vous y êtes ?! – C'est une idée, répond Filippa. – Xavier Xanthopoulos aurait milité en faveur de compétitions mixtes ! ajoute Amélie – Je vous interdis de parler au nom de Xanthos ! Si vous croyez que sa disparition n'est déjà pas suffisante, et que je n'ai pas autre chose à penser ! – Xanthos nous aurait appuyées ! C'est peut-être cela qu'il aurait fallu quelqu'un qui pèse dans le débat ! Ah, Xanthos, on lui aurait tout passé ! On lui aurait dit amen à tout ! Seulement nous n'avons pas sa popularité, ni son poids auprès des sponsors ! – ET BIEN OUI, VOILA ! admet JFJ. Qu'est-ce que vous voulez que j'y fasse ?! Le monde est comme ça ! Le jour où une femme affichera le palmarès et l'attention médiatique d'un Xavier Xanthopoulos, peut-être que le monde changera. Peut-être que les regards seront différents quand une footballeuse aux performances jamais vues comblera le vide laissé par Xanthos. Pour l'heure, – excusez-moi – mais celle-ci n'est pas encore née ! – Ce n'est qu'une question de volonté, se radoucit Amélie. Ces femmes existent déjà. Simplement, le monde n'est pas encore prêt. – Sans doute, mesdemoiselles. Sans doute. Ce n'est pas moi qui fait le monde. Soudain, un tintement résonne dans le silence retrouvé du bureau. Une notification, issue de la poche intérieure de Jimenez. Il se saisit du terminal, comme près de deux tiers des spectateurs le font du leur, au dehors. ALERTE INFO après une disparition de près de quatre mois, l'attaquant grec Xavier Xanthopoulos est vivant... et revient sous les traits d'une femme. Je veux que mon exemple serve la cause de millions d'hommes et de femmes dans le monde » avoue-t-il. Ayant subi de multiples opérations dans une clinique américaine, la désormais Yolanda Xanthopoulos... suite * Dimanche 13 septembre 20XX Stade de Winnipeg, Canada. Finale de la Coupe du monde mixte de football – Belgique/Grèce Le coup d'envoi est proche. Amélie Van Eyken plonge les yeux dans ceux de Yolanda Xanthopoulos. Au delà de la tension, les deux femmes se sourient.
la dernière barbe avant la fin du monde